Grippe A
Un vaccin qui me fait me poser des questions
La question que je me pose n'est pas : le vaccin est-il réellement efficace ?, ni même le vaccin est il vraiment sans danger ?
Ma question est la suivante : Le vaccin est il nécessaire ?
Des faits troublant
Les données ci-dessous ont été publiée par une revue douteuse : pas d'ISBN, pas de responsable identifié pour l'ensemble de la publication.
A l'inverse, les contributeurs à cette revue ne sont pas anonymes: nom, adresses email, sites internet...
Le ton de certains articles, très "conspirationniste" inspire une prudence extrême face à tout ce qui est rapporté dans cette revue. Je vous livre ce qui me semble important, sans aucune certitude sur la fiabilité des sources. Je n'ai pas réussi à trouver confirmation ni infirmation de ces informations.
Les faits rapportés
Si on en croit les graphes de T.MC.Kéown,c'est plus les progrès de l'hygiène, de l'instruction, qui ont permis d'endiguer les grandes pandémies que la vaccination :
On peut imaginer que, sans le vaccin, la situation se serait dégradée. Cependant il semble plus probable que la guerre a eu plus d'influence négative (ralentissement de l'amélioration en 14/18, dégradation en 1939/1941) que le vaccin n'en a eu de positive.
Voyons le graphe suivant :
On retrouve là encore un effet très net de la guerre, mais pas d'effet visible de la vaccination.
Enfin, on peut mettre en cause l'honnêteté de la source. Prenons en deux autres :
Visiblement, la réduction de la mortalité à précédé le recours à la vaccination.
et là ? Peut-on vraiment attribuer le mérite de l'amélioration à la généralisation de la vaccination ? On peut imaginer que, sans le vaccin cela aurait été pire. Mais on peut tout aussi bien remarquer que la mise sur le marché des premiers vaccin a été suivie de la pire situation depuis plus de 30 ans. La décroissance a précédé la vaccination obligatoire... J'ai en mémoire d'avoir croisé pas mal de jeunes de mon âge touchés par la poliomyélite (je suis né en 1959), jamais de plus vieux, très peu de plus jeune, ce qui, à un niveau statistique non significatif, semblerait cohérent avec la courbe ci-dessus.
Analyse
Si ces graphes reflètent la réalité, alors, il semble que la première arme de lutte contre une épidémie soit non pas la vaccination mais l'hygiène et l'instruction. Le vaccin semble plutôt un moyen d'éviter les crises passagères. Peut-être qu'effectivement, si le vaccin avait été disponible sufisemment tôt, la grippe espagnole aurait fait moins de dégâts.
Mais la grippe A est elle si dangereuse ? Souvenez vous de la grippe aviaire, qui devait faires des centaines de milliers de victimes..... A force de vouloir nous protéger contre tout, on finit par s'affoler pour pas grand chose.